Une rue nouvelle du Plessis-Robinson, 2018.

Mes confrères, architectes praticiens, conseils et enseignants, « modernes » depuis plus de cent ans, sont presque tous impitoyables avec les architectures d’inspirations classiques, qui leur semblent, non seulement des fautes de goûts, mais des fautes morales. Ce n’est pas mon cas : quand même l’historicisme n’est pas ma tasse de thé, je considère qu’il a droit de cité ; et comme il est méprisé par mes confrères, j’ai pour lui une certaine tendresse.
Dans le cadre de mes activités d’architecte-conseil de l’État auprès de la Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement, de l’Aménagement et des Transports (DRIEAT), pour justifier un avis architectural et urbain, j’ai dû analyser une architecture historiciste très présente au Plessis-Robinson. Cette analyse générale est présentée ici, abstraction faite de mon avis sur un projet particulier.

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